Dyslexie, Dyspraxie, Dys… et si c’était une autre forme d’intelligence ?

Véritable casse-tête pour les enfants et adolescents concernés. C’est un peu comme si la vie leur donnait un puzzle géant, mais avec quelques pièces manquantes. Le problème ? Les enfants « neuroatypiques » se retrouvent souvent en décalage par rapport à leurs camarades, sans que ce soit de leur faute.

Et bien sûr, l’échec répété a un impact : la peur du jugement, une confiance en soi en berne, une surcharge mentale…

Bref, un sacré poids à porter sur leurs petites épaules.

Briser le cercle de la peur et du découragement

Et la confiance en soi ? Elle prend un sacré coup.

L’anxiété pointe alors son nez, et avec elle, une tonne de stress. Ce n’est pas juste une gêne passagère, c’est un poids permanent qui alourdit chaque moment passé à l’école.

Quand apprendre devient un parcours du combattant

Le système éducatif traditionnel ne correspond pas toujours aux besoins des enfants « neuroatypiques ». Heureusement, il existe des professionnels comme les orthophonistes, ergothérapeutes, psychomotriciens, AVS et CMPP qui apportent un soutien précieux. Mais parfois, l’enfant se retrouve dans une situation de lutte constante face à sa différence, et ça, ça peut générer de l’anxiété. La peur de l’échec, du jugement et même du rejet se fait de plus en plus forte.

L’anxiété : la compagne de route des décalés

Cette anxiété peut aggraver les difficultés et engendrer toute une série de problèmes supplémentaires : une baisse de l’estime de soi, des troubles de l’attention, voire un désengagement progressif.

Ces troubles ne sont pas des erreurs de fonctionnement, mais simplement des façons différentes de fonctionner, parfois même accompagnées de talents cachés ! Un enfant « neuroatypique » n’est pas un enfant qui ne « réussit » pas, c’est un enfant qui apprend autrement, à son rythme et avec ses outils.

Et si c’était une autre forme d’intelligence ?

Les troubles « DYS » sont liés à des difficultés spécifiques dans des domaines comme la lecture, l’écriture, la coordination ou encore la logique. Mais rassurez-vous, cela n’a absolument rien à voir avec l’intelligence de l’enfant. Au contraire, nombreux sont les enfants « DYS » qui développent des talents dans des domaines inattendus ! La créativité, la pensée visuelle, l’intelligence émotionnelle… tout ça fait partie de leurs atouts !

Lorsque l’anxiété baisse d’un cran, l’enfant peut commencer à voir l’école et lui-même sous un autre jour. Cela peut faire toute la différence, et l’avenir devient une toile à peindre avec toutes les couleurs de la réussite.

Vous voyez, un enfant « DYS » peut aussi s’épanouir et tracer sa propre route vers l’avenir, même si, au départ, cela semblait un peu flou.

C’est là qu’une approche comme l’hypnothérapie entre en scène !

Une clé pour libérer le potentiel caché

L’hypnose, ce n’est pas juste un outil pour endormir le stress. C’est un moyen pour les enfants « atypiques » de comprendre leur propre fonctionnement, de découvrir des ressources insoupçonnées et de retrouver le goût de l’apprentissage autrement. Comme un peintre qui apprend à utiliser un pinceau de façon originale, l’enfant peut apprendre à transformer sa différence en un véritable moteur de réussite.

Avec l’hypnothérapie, ces enfants peuvent…

• Apaiser l’anxiété liée à l’apprentissage, améliorer leur concentration et mieux gérer le stress.

• Retrouver confiance en leurs capacités, leur redonnant ainsi cette énergie précieuse pour avancer.

• Développer des stratégies d’apprentissage qui leur ressemblent, qui leur sont adaptées et qui les aident à se sentir plus compétents.

• Revaloriser leurs talents cachés, comme la créativité, la mémoire visuelle, la logique, et bien plus encore !

L’auto-hypnose : un super-pouvoir pour l’autonomie !

Les enfants « atypiques » possèdent souvent une sensibilité accrue et une grande créativité. Eh bien, l’auto-hypnose peut devenir leur arme secrète pour apaiser le stress et reprendre le contrôle de leurs émotions. C’est comme un super-pouvoir qu’ils peuvent activer à tout moment pour rester sereins, même dans les moments de tension.

Génies incompris ou écoliers en difficulté ?

Une chose est sûre : chaque enfant a son propre potentiel à révéler, et ce potentiel ne dépend pas de sa manière d’apprendre, mais de la manière dont il est soutenu pour y parvenir.
L’hypnose ne va pas effacer les troubles « DYS », mais elle permet d’accompagner l’enfant dans son cheminement, de l’aider à surmonter les obstacles émotionnels et à voir sa différence comme une véritable richesse. Parce qu’au fond, chaque enfant est unique, avec ses talents insoupçonnés !

Les chiffres clés :

Les troubles « DYS » touchent environ 5 à 10 % des enfants scolarisés, avec une forte prévalence chez les garçons. Ces troubles sont souvent génétiques et peuvent être influencés par l’environnement. Il semble que la nature ait décidé de répartir des individus neuroatypiques dans la population (Dys, haut potentiel, Asperger, etc.).

Le diagnostic des neuroatypiques nécessite un bilan pluridisciplinaire approfondi, généralement posé par des spécialistes de l’enfance. Aucun bilan paraclinique fiable n’existe, et la nature même des troubles de l’apprentissage est sujette à des débats éternels.

Cégolène Welle Hypnothérapeute à Dax